Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volumen2The author, 1803 - 635 páginas |
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... lui - même : ( * ) C'est le sort qui décidoit du choix du directeur de l'académie . Il devoit remplir cet office pendant trois mois , et répondoit aux discours de réception des nouveaux aca- démiciens . ( ** ) J'étois encore directeur ...
... lui - même : ( * ) C'est le sort qui décidoit du choix du directeur de l'académie . Il devoit remplir cet office pendant trois mois , et répondoit aux discours de réception des nouveaux aca- démiciens . ( ** ) J'étois encore directeur ...
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... lui- même , n'est pas douteux . << Corneille est venu » , dit M. de La Harpe , » quand il n'y avoit encore rien de bon : il a >> donc un mérite qui lui est propre , celui de » s'être élevé sans modèle aux beautés supé- » rieures ...
... lui- même , n'est pas douteux . << Corneille est venu » , dit M. de La Harpe , » quand il n'y avoit encore rien de bon : il a >> donc un mérite qui lui est propre , celui de » s'être élevé sans modèle aux beautés supé- » rieures ...
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... lui - même n'a pas » surpassés . Le rôle du valet crédule , qui est >> toujours la dupe de son maître , quoiqu'il >> connoisse bien son caractère , contribue è >> faire ressortir le personnage du Menteur ; el des naïvetés exprimées dans ...
... lui - même n'a pas » surpassés . Le rôle du valet crédule , qui est >> toujours la dupe de son maître , quoiqu'il >> connoisse bien son caractère , contribue è >> faire ressortir le personnage du Menteur ; el des naïvetés exprimées dans ...
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... soi - même qu'une élégie héroïque , il a fait du moins , de cette élégie , un ouvrage charmant , et tel que lui seul pouvoit le faire . On disoit dans le temps . que c'étoit une pièce de commande , et que Titus n'étoit point un héros ...
... soi - même qu'une élégie héroïque , il a fait du moins , de cette élégie , un ouvrage charmant , et tel que lui seul pouvoit le faire . On disoit dans le temps . que c'étoit une pièce de commande , et que Titus n'étoit point un héros ...
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... même en fit sous moi la noble expérience . Toi - même tu l'as vu courir dans les combats , Emporter après lui tous les cœurs des soldats , Et goûter , tout sanglant , le plaisir et la gloire Que donne aux jeunes cœurs la première ...
... même en fit sous moi la noble expérience . Toi - même tu l'as vu courir dans les combats , Emporter après lui tous les cœurs des soldats , Et goûter , tout sanglant , le plaisir et la gloire Que donne aux jeunes cœurs la première ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 36 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Página 428 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Página 36 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
Página 410 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Página 392 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Página 16 - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
Página 26 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Página 5 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Página 426 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Página 26 - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.