Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volumen2The author, 1803 - 635 páginas |
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... étoit répandu dans les >> meilleures compagnies de son temps . Mais , » dans le choix qu'il fit des auteurs espagnols » dont il voulut embellir ses ouvrages , on ne >> peut méconnoître un homme supérieur . Le » sujet du Cid , qui étoit ...
... étoit répandu dans les >> meilleures compagnies de son temps . Mais , » dans le choix qu'il fit des auteurs espagnols » dont il voulut embellir ses ouvrages , on ne >> peut méconnoître un homme supérieur . Le » sujet du Cid , qui étoit ...
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... étoit pas de son choix ; et s'il n'a pu faire une véritable tragédie de ce qui n'étoit en soi - même qu'une élégie héroïque , il a fait du moins , de cette élégie , un ouvrage charmant , et tel que lui seul pouvoit le faire . On disoit ...
... étoit pas de son choix ; et s'il n'a pu faire une véritable tragédie de ce qui n'étoit en soi - même qu'une élégie héroïque , il a fait du moins , de cette élégie , un ouvrage charmant , et tel que lui seul pouvoit le faire . On disoit ...
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... étoit formée contre l'auteur , sachant qu'il étoit occupé de cette tragédie , engagea Pradon à composer une pièce sur le même sujet . La Phédre de Racine a été repré- sentée au théâtre de l'hôtel de Bourgogne , le 1er . janvier 1667 ...
... étoit formée contre l'auteur , sachant qu'il étoit occupé de cette tragédie , engagea Pradon à composer une pièce sur le même sujet . La Phédre de Racine a été repré- sentée au théâtre de l'hôtel de Bourgogne , le 1er . janvier 1667 ...
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... étoit le duc général ; et j'en fus si satisfait en mon particulier , que je vis dès - lors l'effet qu'elle alloit produire . Au sortir de la comédie , prenant M. Chapelain par la main , Monsieur , lui dis - je , nous approuvions vous et ...
... étoit le duc général ; et j'en fus si satisfait en mon particulier , que je vis dès - lors l'effet qu'elle alloit produire . Au sortir de la comédie , prenant M. Chapelain par la main , Monsieur , lui dis - je , nous approuvions vous et ...
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... étoit généreux et bienfaisant . Il aimoit éperduement sa femme , qui étoit indigne de son affection ; mais son empire étoit tel , di- soit - on , qu'elle lui faisoit croire qu'il n'avoit pas vu ce qu'il avoit vu ; et il finissoit par ...
... étoit généreux et bienfaisant . Il aimoit éperduement sa femme , qui étoit indigne de son affection ; mais son empire étoit tel , di- soit - on , qu'elle lui faisoit croire qu'il n'avoit pas vu ce qu'il avoit vu ; et il finissoit par ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 36 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Página 428 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Página 36 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
Página 410 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Página 392 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Página 16 - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
Página 26 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Página 5 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Página 426 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Página 26 - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.