Imágenes de páginas
PDF
EPUB

ble, ce général fut accusé d'être complice de Custines, el envoyé au tribunal révolutionnaire, où il fut condamné à mort, et exécuté le 6 brumaire an 2 (1793).

[ocr errors]

trouva des bourreaux. Ceux-ci lui ayant fait quelques questions sur la reine, elle leur dit : « Je n'ai rien à répondre; mourir plus tôt ou plus tard m'est devenu indifférent, et je suis toute préparée.» Aussitôt, trai

* LAMBA-DORIA, Génois, in-née dans les cours au milieu de plutrépide commandant de l'armée navale de sa patrie, con.battit les Vénitiens dans le golfe Adriatique. Dans la plus grande chaleur de l'action, on lui ap rit que sou fils venoit d'être tué. Au lieu de donner le moindre signe de douleur, il exhorta ses guerriers à continuer le courbat, et à faire tous leurs efforts pour obtenir une victoire entiere. Quant à son fils, il ordonna qu'on «<le jetât à la mer, puisqu'il ne pouvoit pas avoir une sépulture plus noble que le lieu où il avoit reçu la mort en combattant pour sa patrie. » Trait qui ne prouve pas la sensibilité d'un pere.

LAMBALLE (Marie-ThérèseLouise DE SAVOIE-CARIGNAN, princesse de), veuve de LouisAlexandre-Joseph-Stanislas de Bourbon - Penthièvre, prince de Lamballe, née à Turin le 8 septembre 1749, fut nommée surintendante de la maison de la reine de France, et s'unit à Marie - Autoinette de la plus intime amitié. Avertie par cette dernière de sa fuite à Varennes, madame de Lamballe gagna promptement Dieppe, d'où elle passa en Angleterre. Elle y eût vécu heureuse, și le désir de revoir la reine et de partager son sort ne l'eût rappelée près d'elle. Madame de Lamballe suivit son amie dans sa prison au Temple, et y fut renfermée jusqu'à ce que la commune de Paris, irritée de son attachement, la fit arracher de ce triste lieu, pour la transférer à la Force. Le 3 septembre 1792, on la fit lever de grand matin pour la conduire à la porte de cette prison, où elle

T. IX.

|

[ocr errors]

sieurs cadavres, elle fut égorgée. « Le
sincère attachement de madame de
Lamballe pour la reine, dit l'au-
teur du Nouveau Tableau de Paris,
fut son seul crime. Au milieu de
nos agitations, elle n'avoit joué au-
cun rôle; rien ne pouvoit la rendre
suspecte aux yeux du peuple dont
elle n'étoit connue que par des actes
multipliés de bienfaisance. Les écri-
vans les plus féroces, les déclama-
tears les plus fougueux, ne l'a-
voient jamais attaquée dans leurs
feuilles. Le 3 septeinbre, on Jap-
pelle au greffe de la Force; elle com-
paroit devant le sanglant tribunal.
A l'aspect des bourreaux couverts
de sang,
il falloit un courage sur-
naturel pour ne pas succomber;
plusieurs voix s'élèvent de la foule
et demandent sa grace. Un instant
indécis, les assassins s'arrêtent ;
mais, bientôt frappée de plusieurs
coups de sabre, elle tombe baignée
dans son sang, et elle expire. Aussi-
tôt on lui coupe la tête, les seins;
son corps est ouvert on en arra-
che le cœur ; sa tête est ensuite por-
tée au haut d'une pique ; à quelque
distance on tramoit son corps. Les
tigres qui venoient de la déchirer
se donnerent le barbare plaisir d'al-
ler montrer sa tête et son cœur à
Louis XVI, à la reine et à sa fa-
nille. » Madame de Lamballe,
belle, douce, obligeante, modérée
au sein de la faveur, ne demanda
jamais rien pour elle-même. Son
nom est resté sans lache; les libelles
révolutionnaires le respectèrent. On
osa l'assassiner; on n'osa pas flétrir
sa mémoire.

+ LAMBÉCIUS (Pierre), né à

50

le supplément de Daniel Nesselius, 1690, 2 vol. in fol. IV. Prodromus historic litterariae, et diarium sucri itineris Cellensis ouvrage posthume, publié à Leipzick en 1710, in-fol., par le savant Jean-Albert Fabricius. Lambécius vouloit donner une histoire littéraire complète; mais ce qu'il en a fait est la partie la plus stérile. li ne s'étend que depuis Adam jusqu'au 13° siècle avant J. C.: il s'est contenté de donner le projet du reste de l'ouvrage. Struve doutoit que Lambécius fut en état de composer une bonne histoire littéraire, quoiqu'il fût savant et la

Hambourg en 1628, fit des progrès si rapides dans la littérature, qu'à l'age de 19 ans il publia ses savantes Remarques sur Aulu-Gelle. Des voyages dans les différentes contrées de l'Europe répandirent son nom, et augmentèrent ses connoissances. De retour à Hambourg, il fut -nommé, en 1652, professeur d'histoire, et, en 1664, recteur du collége. Deux ans après, il épousa une femme riche, mais vieille, acariàtre et avare. Ne pouvant plus vivre avec cette furie, il passa à Rome, et y fut bien accueilli. Le pape Alexandre VII et la reine Christine lui firent un sort heureux. Il oublia ai-borieux; son style étoit diffus, ses sément sa patrie, où l'envie, après digressions assommantes, et il avoit avoir critiqué ses Ouvrages, l'avoit plus d'esprit que de jugement et de accusé d'être hérétique et même goût.Quant à son Iter Cellense,qu'on athée, «L'accueil de Christine, dit avoit imprimé séparément, et qu'on d'Alembert, consola Lambécius des a joint dans cette édition, c'est un persécutions qu'il avoit essuyées de journal du pélerinage que l'empereur la part des théologiens protestans. Léopold fit, en 1665, au monastère Ces persécutions étoient allées au de Marien-Kell, dans la haute Stipoint qu'il s'étoit fait catholiquerie. Le rédacteur y a rassemblé des pour se justifier de l'athéisme dont observations propres à enrichir l'hison l'accusoit, c'est-à-dire qu'il chan- toire littéraire. gea de religion pour prouver qu'il en avoit une. » Lambécius devint * I. LAMBERT, roi d'Italie, ensuite bibliothécaire de l'empereur, fils de Guy, duc de Spolète, roi et mourut dans ce poste à Vienue d'Italie en 891, et d'Agillonde ; il fut eu 1680. Il reste de lui, I. Origines associé à l'empire encore jeune en Hamburgenses ab anno 808 ad 892, et roi effectif d'Italie en 895. annum 1292, 2 vol. in-4°, 1652 Il s'accommoda. avec Berenger, son et 1661; et 2 vol. in-fol. 1706 et compétiteur, et avec Arnoul, roi 1710 ouvrage chargé d'érudition, de Germanie (neveu de Charles-leexact et fidèle, à l'exception de Gros), qui l'avoit attaqué en 896. quelques endroits où son amour L'an 898, Lambert défait, près de pour sa patrie l'a induit en erreur. San-Donnino dans le Parmesau, II. Animadversiones ad Godini Ori-Adalbert II, marquis de Toscane, gines Constantinopolitanas, très- qui lui disputoit la couronne, le savante production, Paris, 1655, prend et l'envoie prisonnier à Pavie. in-fol. III. Commentariorum de bi-Il meurt la même année, à la chasse, bliotheca Cæsared - Vindobonensi dans la forêt de Marengo, suivant libri VIII, Vienne, 1665, 1679, quelques historiens, d'une chute de 8 vol. in-fol. L'auteur n'est pas cheval, suivant d'autres, tue par toujours exact dans cet écrit, plein Hugues, comte de Milan. Lambert de beaucoup de choses inutiles, et descendeit. de Charlemagne par d'autres qui sont curieuses et singu-N**, fille du comte Pépin, mariée. lières. Il faut joindre à cet ouvrage à son aïeul Lambert Ier, duc d'le.

IV. LAMBERT, évêque d'Arras, né à Guines, se distingua tellement par la prédication pendant qu'il étoit chanoine de Lille, que les Ar

talie, en 878 (laquelle étoit petitefille de Bernard, roi d'Italie, auquel Louis-le-Débonnaire fit arracher les yeux en 817). (Voyez Louis Ier, n° I, empereur.) Le jeune Lam-tésiens désirant séparer leur église bert, suivant Luitprand, étoit doué de bonnes qualités, et donnoit de très-grandes espérances.

con

de celle de Cambrai, à laquelle elle étoit unie depuis cinq cents ans, l'élurent pour évèque en 1092. Urbain II confirma cette élection, et sacra le nouvel évêque à Rome,

II. LAMBERT (saint), évêque de Mastricht, sa patrie, fut chassé de son siége après la mort de Chil-malgré les oppositions des Cambraisiens. Lambert assista à queldéric, par le barbare Ebroin, qui mourut sept ans après. Lambert, re-ques conciles, et mourut en 1115, tabli sur le trône épiscopal, âgé de 66 ans. Il fut enterré dans sa cathédrale, où on lui mit une vertit un grand nombre d'iufiépitaphe, qui annonce: «Que la dèles, adoucit leur férocité, et fut sainte Vierge étoit apparue à Lamtué le 17 septembre 709, selon les bert et à deux jongleurs, et qu'elle bollandisies, par Dodon, qui se avoit donné à l'évêque un cierge vengea sur lui d'un meurtre commis par deux neveux du saint évê- qui avoit la vertu de guérir du mal des ardens, si fort commuu que. Son martyre arriva à Liége, France. » Il y a dans le Miscellaned qui n'étoit qu'un petit village, et de Baluze un Recueil de chartés et qui devint par cet événement une de lettres qui concernent l'évêché ville considérable, la dévotion des d'Arras, attribuées à Lambert, et fidèles y ayant attiré beaucoup de peuples. Il y a eu deux autres peu faites pour exciter de l'intérêt. saints de ce nom, l'un archevêque V. LAMBERT (François), corde Lyon, mort en 688; l'autre, évê-delier d'Avignon sa patrie, né en que de Vence en 1114. ̧

--

en

1487, quitta son couvent pour prê

III. LAMBERT DE SCHAWEM-cher le lutheranisme, et sur-tout BOURG, ou, selon d'autres, d'As- pour avoir une femme. Luther en chaffembourg, célèbre bénédictin fit son apôtre dans la Suisse et en' de l'abbaye d'Hirchfelden en 1058, Allemagne, et lui procura la place entreprit le voyage de Jérusalem. de premier professeur de théologie De retour en Europe, il composa à Marpurg, où il mourut de la peste une Chronique depuis Adam jus- en 1538. Lambert affectoit un air déqu'en 1077. Cette Chronique n'est vot, et déchiroit impitoyablement les qu'un mauvais abrégé jusqu'à l'an catholiques, pour se faire valoir 1050; mais depuis 1050 jusqu'en auprès des luthériens. Ou a de lui, 1077, c'est une histoire d'Allema-I. Deux Ecrits, l'un pour justifier gne d'une juste étendue. Cet ouvrage, imprimé à Bale en 1669, in--folio, avec celui de Conrad de Liechtenaw, se trouve aussi dans le premier volume des Ecrivains d'Allemagne de Pistorius. Un moine d'Erfurt en a donné une assez bonne mais confuse continuation jusqu'à l'an 1472; on la trouve aussi dans le Recueil de Pistorius,

[ocr errors]

son apostasie, et l'autre pour décrier son ordre, 1523, in-8°. Le premier a été réimprimé avec plusieurs de ses Lettres, et de ses Ques tions théologiques, dans les Ama nitates litteraria de Schelhoru. II. Des Commentaires sur saint Luc, sur le Mariage, sur le Cantique des Cantiques, sur les petits Prophètes, et sur l'Apocalypse,

in-8° III. Un Traité de la voca- | tion, in 8°. IV. Un autre Traité reufermant plusieurs discussions théologiques, sous le titre assez juste de Farrago, in-8°. Ce moine apostat se déguisa long-temps sous le nom de Johannes Serranus (Jɛan, de Serres.) Ses écrits sont aussi remplis d'emportement que vides de jugement et de raison.

VI. LAMBERT, surnommé le Bègue à cause de la difficulté de sa prononciation, mourut l'an 1177, à sou retour de Rome, où Raoul, évêque de Liège, l'avoit envoyé. Ce fut lui qui institua les béguines des Pays-Bas; établissement qui étoit fort répandu dans ces provinces. Il assura des moyens de subsistance et de sagesse à une multitude de filles, sans leur ôter la liberté de rentrer dans le siècle. Plusieurs auteurs attribuent l'institution des béguines à Sainte-Bègue; mais ce sentiment est moins foudé.

[ocr errors]

conduisit avec toute la capacité d'une personne qui n'auroit point eu d'autre talent. Libre enfin et maitresse d'un bien considérable qu'elle avoit presque conquis, elle établit dans Paris une maison où il étoit honorable d'ètre reçu. « ¦ • n'étoit pas seulement ardente, dit Fontenelle, à servir ses amis, sans attendre leurs prières, ni l'exposition humiliante de leurs besoins; mais une bonne action à faire, même en faveur des persounes indifférentes, la tentoit toujours vivement, et il falloit que les circonstances fussent bien contraires, si elle n'y succomboit pas. Quelques mauvais succès de ses générosités ne l'avoient point corrigée, et elle étoit toujours également prète à hasarder de faire le bien. Elle fut fort infirme pendant tout le cours de sa vie. Ses dernières années furent accablées de souffrances, pour lesquelles son courage naturel n'eût pas suffi sans le secours de toute sa religion. » Cette dame illustre mouruť le 12 juillet 1733, à 86 aus. Ses Ouvrages ont été réunis en deux vol. in- 12. Elles les avoit lus à quelques amis, quoiqu'elle ne les destinat pas à voir le grand jour; mais en croyant n'écrire que pour soi, dit Fontenelle, on écrit aussi un peu pour les autres sans s'en douter. Les productions de madame de Lambert se répandirent en manuscrit, et devinrent bientôt + VIII. LAMBERT (Anne-Thé-publiques. Les principales sont rèse DE MARGUENAT DE COURCEL- I. Les Avis d'une mère à son fils, e LES, marquise de), née à Paris d'un d'une mère à sa fille. Ce sont des maître des comptes, perdit son préceptes donnés par une amie, et père à l'âge de trois ans. Sa mère qui partent du cœur. C'est une épousa en secondes noces Bachau- philosophie aimable, qui s'applique mont, qui se fit un devoir et un à faire sentir les douceurs attachées amusement de cultiver les heureuses à la vertu. Tout ce qu'elle prescrit dispositions qu'il découvrit dans sa porte l'empreinte d'une ame noble belle-fille. Après la mort de son mari, et délicate, qui possède sans faste et Henri Lambert, marquis de Saint- sans effort les qualités qu'elle exige Bris, qu'elle avoit épousé en 1666, dans les autres. II. Nouvelles réet qu'elle perdit en 1686, elle essuya flexions sur les femmes, ou Métade longs et de cruels procès, où il physique d'amour: elles sont pleines s'agissoit de toute sa fortune. Elle les d'imagination, de finesse et d'agré

VII. LAMBERT (N**), poëte dramatique, a douné au théatre français les Soeurs Jalouses; la Magie sans Magie; le Bien perdu et retrouvé ; les Ramoneurs, comédies, représentées en 1658 et 1660, qui eurent quelque succès dans leur nouveauté, malgré leur médiocrité.

[ocr errors]
[ocr errors]

et

encore rendu maître, il revint avec sa proie devant cette ville, et contraignit enfin ces corsaires à rendre tous les esclaves hollandais qu'ils avoient en leur puissance, en échange de ceux qu'il tenoit dans ses vaisseaux. Comblé de gloire, et accom pagné de ses compatriotes qu'il avoit tirés d'esclavage, il aborda en Hollande, où sa valeur reçut les applaudissemens qu'il lui étoient dus. Mais n'y avoit-il pas quelque imprudence dans sa conduite? et n'avoit-il pas fait courir à ses compatriotes le danger de subir de terribles repré

ment. III. Traité de l'Amitié. L'au-
teur peint les avantages, les charmes,
les devoirs de ce sentiment, avec
autant de vérité que de délicatesse
et montre qu'elle étoit digne de le
connoître. IV. Traité de la vieillesse
non moins estimé que celui de l'A-
mitié. V. La Femme ermite, petit
roman extrêmement touchant. VI.
Des Morceaux détachés de morale
ou de littérature. C'est par-tout le
même esprit, le même goût, la
même nuance. On a publié en 1808
les Euvres complètes de madame la
marquise de Lambert, suivies de ses
lettres à plusieurs personnages cé-sailles?
lèbres, un volume in-8°. Il s'y trouve
quelquefois du précieux, mais rare-

ment.

|

X. LAMBERT (Joseph), fils d'un maître des comptes, né à Paris en 1654, prit le bonnet de docteur de Sorbonne, obtint le prieuré de Palaiseau près Paris, et mourut le 31 janvier 1722. Ce fut à sa réquisition que la Sorbonne fit une décla-ration qui rend nulles les theses de ceux qui s'y seroient nommés titulaires de plusieurs bénéfices. On a de

IX. LAMBERT, Hollandais, marin intrépide, capitaine de vaisseau, célèbre dans le 17° siècle par une action des plus vigoureuses, et sans doute trop violente. En 1624, les états de Hollande, ayant armé six vaisseaux contre les Algériens, en donnèrent le commandement à celui, I. L'année évangélique ou Hobrave homme, qui s'empara d'abord mélies, en 7 vol. in-12. Son élode deux vaisseaux corsaires, et mit quence est véritablement chrétienne, 125 pirates à la chaine. Après cette simple et touchante, mais dénuée première expédition, il alla mouil- de cette chaleur qui émeut un anler devant Alger avec son escadre de ditoire. Tous ses ouvrages sont marsix vaisseaux, et à portée du ca- qués au même coin. Le style en est non de cette ville, il arbora l'éten-négligé; mais il écrivoit pour l'insdard rouge en signe de guerre. Cette truction des gens de la campagne. II. hardiesse surprit ceux d'Alger; et le Des Conférences en 2 vol. in-12, capitaine Lambert, trouvant qu'on sous le titre de Discours sur la vie différoit trop à lui rendre les esclaves ecclésiastique. IH. Epitres et Evanqu'il avoit demandés, fit lier dos àgiles de l'année, avec des réflexions, dos une partie des Turcs et des Mau-1713, in-12. IV. Les Ordinations res qu'il avoit dans ses vaisseaux, les des Saints, in-12. V. La manière fit jeter à la mer, et fit pendre les autres aux antennes, à la vue des Algériens, qui regardoient en frémissant cette sanglante exécution. Il fit faire ensuite une décharge contre la ville; et ayant levé l'ancre, fit voile pour s'en retourner. Sur la ronte il eut une seconde rencontre de deux vaisseaux d'Alger; s'en étant

de bien instruire les pauvres, in-1 2. VI. Histoires choisies de l'ancien et du nouveau Testament, recueil utile aux cathéchistes, in-12. VII. Le chrétien instruit des Mystères de la religion et des vérités de la morale. VIII. Instructions courtes et familières pour tous les dimanches et principales fètes de l'année,

« AnteriorContinuar »