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des enfans, et propose pour modèle leur innocence. S'il permet que l'on soit prudent comme le serpent dans les occasions où l'on a des piéges à craindre, il veut que par-tout ailleurs on soit simple comme la colombe. Lorsque les prêtres et les docteurs de la loi veulent l'embarrasser par des sophismes, par des questions insidieuses, il les confond par des réponses aussi justes que sublimes. On lui demande si l'on doit payer le tribut à César. II répond en demandant une pièce de inonroie. « De qui est cette image, dit-il à ses ennemis?.... De César, lui répondirent ils.... Rendez donc, leur dit-il, à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. >> On lui amène une femme surprise en adultère; ses ennemis lui tendent un piége en lui demandant son sentiment sur le châtiment qu'elle devoit subir. «Que celui d'entre vous, répond Jésus, qui est sans péché lui jette la première pierre.»>

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bouche aux docteurs. Il apprenoit aux premiers cette prière, dans laquelle il nous dit de nous adresser à Dieu comme à notre père, et de lui parler comme ses enfans, pour lui demander tous nos besoins. Dans les huit beatitudes, qui sont le précis de toute sa morale, il aunonce un bonheur que le monde conuoit très-peu. « Heureux les pauvres d'esprit! Heureux les cœurs purs! etc. Pour précautionner ses apôtres contre le scandale de la croix et de ses humiliations, J. C. parut dans un état glorieux sur une montagne où il avoit conduit Pierre, Jacques et Jean son frère, Son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtemens blancs comme la neige. Les apôtres virent la gloire éclatante dont le fils de Dieu étoit revêtu, et aperçurent Moyse et Elie qui s'entretenoient avec lui de ses supplices, et de la mort qu'il devoit souffrir à Jérusalem. Alors Pierre, prenaut la parole, proposa Un jour qu'il prêchoit l'amour à Jésus-Christ de dresser trois tendu prochain: « Et qui est mon pro- tes dans cet endroit, une pour lui, chain, lui demanda un docteur qui une pour Moyse, et une pour Élie. feignoit de ne pas le savoir? Je Comme il parloit encore, une muée vais vous l'apprendre, lui répondit lumineuse les couvrit, et il en sortit J. C. Un homme avoit été dé une voix qui proféra ces paroles : pouillé et blessé par des voleurs. « C'est ici mon fils bien-aimé, en qui Deux prêtres passent par l'endroit j'ai mis toute mon affection: écoutezoù étoit cet infortuné, et ne lui le. » Les disciples, à ces mots, furent donnent aucun secours; deux lé-frappés d'une graude crainte, et vites y viennent ensuite, qui ne le tombèrent le visage contre terre; regardent pas. Mais enfin un Sama- mais Jésus s'approchant les toucha, ritain, l'ayant aperçu, l'emporte et les rassura. Alors, levant les dans une hôtellerie voisine, panse yeux, ils ne virent plus que Jésus ses plaies, lui fait donner tout ce seul. Moyse et Elie parurent avec qui lui est nécessaire, et donne de Jésus-Christ pour nous convaincre l'argent pour qu'il soit soigné. Le- que la loi représentée par le prequel, du prêtre, des lévites ou du mier, et les prophètes figurés par Samaritain a été le prochain de ce le second, n'avoient pour but que' pauvre abandonné, demanda Jésus? Jésus-Christ, ne regardoient que C'est, répondit le docteur, celuilui, et que c'est n'y rien entendre qui a eu soin de lui. Allez donc, que d'y chercher autre chose que reprit J. C., et faites de même. » Jésus-Christ et son Eglise. Il est consVoilà de quelle manière J. C. instant, suivant le texte sacré, que truisoit les simples, et fermoita ces deux prophètes parurent en pers

sonne et non en figure, comme le gault étoit d'un sentiment opposé; prétendent quelques-uns. La jalousie car dans son édition de Tertullien, des pharisiens et des docteurs de la | Paris, 1664, in-fol., et dans les noloi, animée par les prodiges qu'o-les sur saint Cyprien, il veut que péroit Jésus-Christ, le fit condam-Jésus-Christ ait été laid de visage. ner à un supplice infame. Un de ses Le P. Vavasseur, qui a écrit avec disciples le trahit, un autre le re- autant de prudence que d'érudition nia, tous l'abandonnèrent. Le pon- sur la figure et les traits de Jésustife et le conseil le condamnèrent, Christ, soutient qu'il n'étoit ni difparce qu'il s'étoit dit le fils de Dieu. forme, ni extrêmement beau, mais Il fut livré à Ponce - Pilate, prési- d'une physionomie noble et aimable. dent romain, et condamné à mou-(Voyez l'art. VAVASSEUR. ) Il terrir, attaché à la croix; il offrit le mine ainsi son ouvrage : Ad humisacrifice qui devoit être fexpiation liora atque abjectiora descendés, du genre humain. A sa mort, le et minima quæquæ et occullissima ciel s'obscurcit, la terre trembla, scrutari, quemadmodùm nonnulli le voile du temple se déchira, les otiosè curiosi fecerunt.... Non sotombeaux s'ouvrirent, les morts lum minutum ac supervacaneum. ressuscitèrent. L'Homme-Dieu mis | puto, verùm etiam illiberale per en croix expira le soir du vendredi se atque indecorum, neque Deo 3 avril, le 14 de nisan, l'an 33° de dignum neque lectoribus consenl'ère, et le 36 de sa vie. Son corps taneum. Le P. Théophile Raynaud, fut mis dans le tombeau, où l'on dans son livre intit. Laus brevitaposa des gardes. Le 3 jour, quiis, après avoir établi que la sainte étoit le dimanche, Jésus-Christ sor- Vierge avoit le nez long et aquilin, tit vivant du sépulcre. Il apparut en conclut que son fils, qui lui resd'abord à plusieurs saintes femmes, sembloit parfaitement, avoit aussi ensuite à ses disciples et à ses apô-un grand nez. Le carme Pierre de tres. Il resta avec eux pendant 40 Saint-Louis, dans son bizarre poëme jours, leur apparoissaut souvent, de la Magdeleine, commence ainsi buvant et mangeant, leur faisant le portrait du Sauveur : voir par beaucoup de preuves qu'il Sa perruque est dorée, et sa mise si belle, étoit vivant, et leur parlant du Qu'il ne s'en vit jamais sur la terre une telle. royaume de Dieu. Quarante jours Qui le voit est ravi de sou bel entregent : après sa résurrection, il monta au Que si son poil est d'or et sa voix est d'argent, ciel en leur présence, leur ordon-Sa taille avec cela ne peut être que riche. nant de prêcher l'Evangile à toutes Il finit par ce trait qui rachète en les nations, et leur promettant d'è- quelque sorte ce qu'il y a de burtre avec eux jusqu'à la fin du mon-lesque et de trivial dans le reste : de. On connoît le prétendu portrait de Jésus-Christ, tracé par Abgare, roi d'Edesse, et dont il est fait mention dans l'Histoire ecclésiastique Un philosophe a parlé ainsi de la d'Eusèbe. (Voyez l'article ABGARE.) morale de l'Evangile : « La sainteté Le R. P. Pilartius est auteur de l'Evangile parle à mon cœur. d'un petit Traité de singulari Voyez les livres des philosophes Jesu Christi pulchritudine, Paris, avec toute leur pompe qu'ils sont 1641, in-12, dans lequel il s'atta-petits auprès de celui-là ! Se peut-ik che à prouver que Jésus-Christ a qu'un livre à la fois sublime et si été le plus beau d'entre les enfans simple soit l'ouvrage des hommes? des hommes. Le célèbre Nicolas Ri-Se peut-il que celui dont il fait l'his

Ou plutôt c'est un Dieu dans le plus grand des homines.

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nant la coupe empoisonnée, bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu. Dirons-nous que l'histoire de l'Evangile est inventée à plaisir? Non : ce n'est pas

toire ne soit qu'un homme lui-même? Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire? Quelle douceur, quelle pureté dans ses mœurs! Quelle grace touchante dans ses instructions! Quelle élévation dans ses maximes! Quelle profonde sagesse dans ses discours! Quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses ré-ainsi qu'on invente; et les faits de ponses! Quel empire sur ses pas- Socrate, dont personne ne doute, sions! Où est l'homme, où est le sont moins attestés que ceux de sage qui peut agir, souffrir et mou- Jésus-Christ. Au fond, c'est éluder rir sans foiblesse et sans ostenta- la difficulté sans la détruire. Il seroit tion? Quand Platon peint son juste plus inconcevable que plusieurs imaginaire, couvert de tout l'op- hommes d'accord eussent fabriqué probre du crime, et digne de tous ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en les prix de la vertu, il peint, trait ait fourni le sujet. Jamais des aupour trait, Jésus-Christ: la ressem- teurs juifs n'eussent trouvé ni ce blance est si frappante, que tous les tou ni cette morale; et l'Evangile a Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas des caractères de vérité si grands, possible de s'y tromper..... Socratesi frappans, si parfaitement inimimourant sans douleur, sans igno- tables, que l'inventeur en seroit plus minie, soutint aisément jusqu'au étonnant que le héros. » Les nations bout son personnage; et si cette infidèles, les païens, les mahoméfacile mort n'eût honoré sa vie, on tans ont reconnu les miracles et la douteroit si Socrate, avec tout son sagesse divine de Jésus-Christ. Un esprit, fut autre chose qu'un sophiste. poete musulman a parlé de sa moIl inventa, dit-on, la morale. D'au- rale dans ces termes : « «Le cœur de tres avant lui l'avoient mise en pra- l'homme affligé tire toute sa consolatique; il ne fit que dire ce qu'ils tion de vos paroles. L'ame reprend avoient fait; il ne fit que mettre en sa vie et sa vigueur en entendant seuleçons leurs exemples. Aristide avoit lement prononcer votre nom. ᏚᎥ été juste avant que Socrate eût dit jamais le cœur de l'homme peut ce que c'étoit que justice; Léonidas s'élever à la contemplation des mysétoit mort pour son pays avant que tères de la divinité; c'est de vous Socrate eût fait un devoir d'aimer la qu'il tire ses lumières pour les conpatrie; Sparte étoit sobre avant que, noitre, et c'est vous qui lui donnez Socrate eût loué la sobriété; avant l'attrait. » Après la mort de leur qu'il eût défini la vertu, la Grèce maitre, les chrétiens se dispersèrent abondoit en hommes vertueux. Mais dans toute la Palestine et dans une où Jésus avoit-il pris chez les siens partie de l'Orient. L'Evangile fut cette morale élevée et pure dont lui bientôt prêché par les apôtres à touseul a donné les leçons et l'exemple? tes les nations. On vit donc sur la La mort de Socrate, philosophant terre une société d'hommes qui attranquillement avec ses amis, est la taquoient ouvertement le pagaplus douce qu'on puisse désirernisme, qui annouçoient aux homcelle de Jésus expirant dans les tour- mes « qu'il n'y avoit qu'un Dieu, mens, injurié, raillé, maudit de qui a créé le ciel et la terre, dont tout un peuple, est la plus horrible la sagesse gouverne le monde ; que qu'on puisse craindre. Socrate, pre-l'homme s'est corrompu par l'abus

fin, l'impiété qui l'offense, le vice qui dégrade l'homme, et le crinie qui nuit au bonheur général de la

tiens offrirent donc au monde un spectacle aussi nouveau qu'intéressant: spectacle dont le tableau raccourci ne doit pas paroître un hors d'œuvre dans l'article du divin auteur du christianisme. Tout ce qui regarde ce Dieu sauveur est si précieux aux chrétiens, que plusieurs églises se flattent d'avoir quelqu'une des choses qui lui ont appartenu, ou qui contribuerent à ses souffrances. Toutes les reliques et les instrumens de la passion de Jésus-Christ peuvent se réduire à son sang, au bois de la croix, au roseau, à la colonne, aux clous, à la lance, à la robe sans couture, aux linceuls ou suaires, au tombeau. Mais de tous ces précieux restes, les critiques ne conviennent que de la conservation de la croix, trouvée par l'impératrice Hélène (voyez ce mot), et de celle du saint sépulcre. La figure de la croix a été différente, suivant les temps et la diversité des nations. La plus ancienne n'étoit qu'uu pal de bois tout droit, sur lequel on attachoit le criminel: les autres croix, composées de deux pièces de bois, ont été de trois sortes de figures; l'une étoit comme un X, ou ce qu'on appelle sautoir, en terme de blason; c'est ce qu'on entend par croix de saint André: l'autre étoit faite en T, c'est

qu'il a fait de la liberté qu'il avoit reçue de son créateur: que sa corruption s'est communiquée à sa postérité; que Dien, touché du mal-société humaine. Les premiers chréheur des hommes, a envoyé son fils sur la terre pour les racheter; que ce fils étoit, en tout, égal à son père; qu'il s'étoit fait homine; qu'il avoit promis un bonheur éternel à ceux qui croyoient sa doctrine et qui pratiquoient sa morale; qu'il avoit prouvé la vérité de ses promesses par des miracles, etc. » Les apôtres annonçoient tout ce qu'ils avoient vu; ils mouroient plutôt que de méconnoître les vérités qu'ils étoient obligés d'enseigner. Si leur morale étoit sublime et simple, leurs mœurs étoient irréprochables. On avoit vu, dans le sein de l'idolatrie, des philosophes attaquer le polythéisine, mais avec précaution, et sans éclairer l'homme sur son origine, sur sa destination. Ils avoient découvert daus l'homme, au milieu de ses égaremens, des semences de sagesse; mais ils avoient cherché vaiuement un remède à la corruption, un frein aux vices, un motif d'encouragement à la vertu; et ceux d'entre eux qui s'étoient élevés au - dessus des passions se soutenoient à ce degré de hauteur par le ressort de l'orgueil. Mais on n'avoit point vu encore une société entière d'hommes, grossiers et ignorans pour la plupart, expliquer ce que les philosophes avoient cherché inutilement sur l'origine du monde, sur la nature et sur la des-à-dire que l'une des deux pièces de bois tination de l'homme; enseigner une morale qui tend à produire sur la terre une bienveillance générale, une amitié constante, une paix perpétuelle ; qui et l'homme sans cesse sous les yeux d'un Être suprême et tout-puissant, qui bait le crime, et qui aime la vertu ; qui récompense, par un bonheur infini, le culte qu'on lui rend, le bien qu'on fait, la résignation dans les maux; et qui punit, par des supplices sans

T. IX.

étoit droite, et l'autre en travers, précisément au bout de celle-là : la troisième enfin étoit faite de telle manière, que la pièce de bois, qui étoit en travers, n'étoit pas sur le haut de la pièce droite, mais le bout du bois droit passoit un peu au-delà du bois en travers; et c'est de cette manière qu'étoit la croix où JésusChrist fut attaché, comme on peut le conjecturer par l'inscription que Pilate fit inettre au bout d'en haut.

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rurgid.

et

JÉTHRO, surnommé Raguel, sacrificateur des Madianites, reçut Moyse dans sa maison, le garda tout le temps que la crainte qu'il avoit de Pharaon l'obligea de ce cacher, lui fit épouser sa fille Séphora. Lorsque Moyse eut délivré les Israélites, Jethro alla au-devant de son gendre, vers l'an 1490 avant Jésus-Christ, Il lui conseilla de choisir des peret lui amena sa femme et ses enfans. sonnes prudentes, capables de former un conseil sur lequel il pourroit se décharger d'une partie des affaires dont il étoit accablé. Il lui enseigna ensuite l'art de discipliner ceux qui étoient destinés à porter les armes. Artapan, dans Eusèbe, le nomme roi d'Arabie, sans doute parce que dans ce pays la royauté étoit jointe au sacerdoce.

Le sépulcre de Jésus-Christ étoit | 1500, in-fol., cum Albucasis chitaillé dans un roc sur la colline du Calvaire. Ce monument a reçu les hommages des chrétiens dans tous les siècles, quelques oppositions que les princes païens, ou hérétiques, ou mahométans aient mises à la conservation du tombeau, ou à la vénération des peuples. Sous Constantin, ce sépulcre ayant été tiré de l'espèce d'humiliation où les païens, et surtout l'empereur Adrien, avoient voulu l'ensevelir, l'affluence fut bien plus grande. On renversa les temples de Jupiter et de Vénus, qu'on y avoit élevés, pour les profaner, et l'empereur y substitua une superbe basilique. Depuis cette restauration, les peuples, selon le té-moignage de saint Augustin, y alloient en foule, et en apportoient de la poussière. Dans le 12° siècle, les croisés tirèrent des mains des Sarrasins ce saint lieu; mais le succès des croisades entreprises pour en faire la conquête ne se soutint point. Les Mahometans, qui s'en rendirent encore les maîtres, en ont enfin laissé la garde aux religieux de Saint-François, dont ils exigent un tribut. Le grand-seigneur, à ce que dit Baillet, prend avec ostentation la qualité de protecteur du saint sépulcre du Christ, avec celle d'esclave de Mahomet. Voyez l'excellente Vie de Jésus-Christ, par le P. Montreuil, jésuite, Paris, 1741, 3 vol. in-12.

+ I. JEUNE (Jean le), né à Poligny en Franche-Comté, l'an 1592, d'un père conseiller au parlement de Dôle, renonça à un canonicat d'Arbois, pour entrer dans la congrégation naissante de l'Oratoire. Le cardinal de Bérulle eut pour lui les bontés d'un père pour un enfant de grande espérance. Le P. Le Jeune se consacra aux missions pendant soixante ans que durèrent ses travaux apostoliques. Il perdit la vue en prêchant le carême à Rouen, à l'âge de 35 ans. Quoique naturellement vif et impé* IV. JÉSUS-HALY, médecin du tueux, cette infirmité ne le con10° siècle, fils de Haly - Abbas, trista point. Le père Le Jeune eut qui lui inspira de bonne heure le d'autres infortunes. Il fut deux fois goût de l'art qu'il professoit. Il ne taillé de la pierre, et on ne l'enparvint pas cependant au degré de tendit jamais laisser échapper aucélébrité de son père. On a de lui cune parole d'impatience. Les plus un traité sur les maladies des yeux, grands prélats avoient tant d'esintitulé De cognitione infirmi- time pour sa vertu, que le cardinal tatum oculorum et curatione eo- Bichi le servit à table durant tout rum, Venetiis, 1499, in - folio, le cours d'une mission. La Fayette, cum Guidonis Cauliaci et alio-évêque de Limoges, l'engagea, en rum scriptis chirurgicis, ibid., 1651, à demeurer dans son diocèse.

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