Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volumen2The author, 1803 - 635 páginas |
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... propre , celui de » s'être élevé sans modèle aux beautés supé- » rieures . Racine ne s'est point formé sur lui , >> il est vrai ; mais il a nécessairement profité >> des lumières déjà répandues ; il a trouvé l'art A 2 LITTÉRATURE ...
... propre , celui de » s'être élevé sans modèle aux beautés supé- » rieures . Racine ne s'est point formé sur lui , >> il est vrai ; mais il a nécessairement profité >> des lumières déjà répandues ; il a trouvé l'art A 2 LITTÉRATURE ...
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... propres fureurs , lui tient ce langage : ger , ... Poursuis , Néron ; avec de tels ministres , Par des faits glorieux tu vas te signaler . Poursuis tu n'as pas fait ce pas pour reculer . Ta main a commencé par le sang de ton frère ; Je ...
... propres fureurs , lui tient ce langage : ger , ... Poursuis , Néron ; avec de tels ministres , Par des faits glorieux tu vas te signaler . Poursuis tu n'as pas fait ce pas pour reculer . Ta main a commencé par le sang de ton frère ; Je ...
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... propres foyers ! Annibal l'a prédit , croyons - en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome . Noyons - la dans son sang justement répandu ; Brûlons ce Capitole où j'étois attendu ; Détruisons ses honneurs , et ...
... propres foyers ! Annibal l'a prédit , croyons - en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome . Noyons - la dans son sang justement répandu ; Brûlons ce Capitole où j'étois attendu ; Détruisons ses honneurs , et ...
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... propres mains . Pourquoi nous tourmenter de leurs ordres suprêmes ? Nesongeons qu'à nous rendre immortels comme eux - mêmes ; Et laissant faire au sort , courons où la valeur Nous promet un destin aussi grand que le leur . C'est à Troye ...
... propres mains . Pourquoi nous tourmenter de leurs ordres suprêmes ? Nesongeons qu'à nous rendre immortels comme eux - mêmes ; Et laissant faire au sort , courons où la valeur Nous promet un destin aussi grand que le leur . C'est à Troye ...
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... faisoit tout oublier , jusqu'au sentiment de >> l'amour - propre .... » >> Misérable ! et je vis , et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! : J'ai pour ayeul le père et le maître des LITTÉRATURE FRANÇAISE . 39.
... faisoit tout oublier , jusqu'au sentiment de >> l'amour - propre .... » >> Misérable ! et je vis , et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! : J'ai pour ayeul le père et le maître des LITTÉRATURE FRANÇAISE . 39.
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Página 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Página 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Página 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Página 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Página 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Página 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Página 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Página 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...