Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volumen2The author, 1803 - 635 páginas |
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... .. >> Ce qui peut émouvoir la pitié dans cette >> pièce , c'est l'amour mutuel de Britannicus et ( * ) Cours de Littérature , par M. de La Harpe . » de Junie , et la mort du jeune prince C 2 LITTÉRATURE FRANÇAISE . 19.
... .. >> Ce qui peut émouvoir la pitié dans cette >> pièce , c'est l'amour mutuel de Britannicus et ( * ) Cours de Littérature , par M. de La Harpe . » de Junie , et la mort du jeune prince C 2 LITTÉRATURE FRANÇAISE . 19.
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... prince ; mais >> l'amour est ici bien moins tragique , et d'un >> effet bien moins grand que dans Androma- » que . Cependant l'union des deux amans est » traversée par la jalousie de Néron ; la vie » du prince est menacée dès que le ...
... prince ; mais >> l'amour est ici bien moins tragique , et d'un >> effet bien moins grand que dans Androma- » que . Cependant l'union des deux amans est » traversée par la jalousie de Néron ; la vie » du prince est menacée dès que le ...
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... prince tel qu'Auguste ! Ouvre une main facile ; accepte avec plaisir Un poëme imparfait , enfant de mon loisir . De tes traits éclatans admirateur fidèle , Ton style , en tous les temps , m'a servi de modèle ; Et si quelque bon vers par ...
... prince tel qu'Auguste ! Ouvre une main facile ; accepte avec plaisir Un poëme imparfait , enfant de mon loisir . De tes traits éclatans admirateur fidèle , Ton style , en tous les temps , m'a servi de modèle ; Et si quelque bon vers par ...
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... prince , arrivée en décembre 1723 , cette place fut don- née à un autre . Destouches alors se retira dans une terre qu'il avoit achetée près de Melun . Il fut reçu à l'académie française . Le cardi- nal de Fleury voulut ensuite l ...
... prince , arrivée en décembre 1723 , cette place fut don- née à un autre . Destouches alors se retira dans une terre qu'il avoit achetée près de Melun . Il fut reçu à l'académie française . Le cardi- nal de Fleury voulut ensuite l ...
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... prince de Condé nomma Champfort secrétaire de ses commandemens , place à laquelle il renonça bientôt après , à cause , comme disoient ses amis , que les soins qu'elle exigeoit contra- rioient trop son goût pour l'indépendance . Ayant ...
... prince de Condé nomma Champfort secrétaire de ses commandemens , place à laquelle il renonça bientôt après , à cause , comme disoient ses amis , que les soins qu'elle exigeoit contra- rioient trop son goût pour l'indépendance . Ayant ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Página 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Página 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Página 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Página 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Página 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Página 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Página 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Página 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...