Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volumen2The author, 1803 - 635 páginas |
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... peine je vous vois , que mes frayeurs cessées Laissent évanouir l'image du trépas , Et que je sens couler , dans mes veines glacées , Un je ne sais quel feu que je ne connois pas . J'ai senti de l'estime et de la complaisance , De l ...
... peine je vous vois , que mes frayeurs cessées Laissent évanouir l'image du trépas , Et que je sens couler , dans mes veines glacées , Un je ne sais quel feu que je ne connois pas . J'ai senti de l'estime et de la complaisance , De l ...
Página 25
... peine ils l'ont choisi , qu'ils craignent leur ouvrage . Sa dépouille est un bien qu'ils veulent recueillir , Et jamais leurs chagrins ne nous laissent vieillir . Bajazet aujourd'hui m'honore et me caresse ; Ses périls tous les jours ...
... peine ils l'ont choisi , qu'ils craignent leur ouvrage . Sa dépouille est un bien qu'ils veulent recueillir , Et jamais leurs chagrins ne nous laissent vieillir . Bajazet aujourd'hui m'honore et me caresse ; Ses périls tous les jours ...
Página 58
... , qui condamne à la peine de mort tout chrétien qui a intimité avec une mahométane . Le consul de France le sauva , en offrant une forte rançon . Regnard ayant reçu de sa famille des fonds assez con- sidérables 58 ESSAIS SUR LA.
... , qui condamne à la peine de mort tout chrétien qui a intimité avec une mahométane . Le consul de France le sauva , en offrant une forte rançon . Regnard ayant reçu de sa famille des fonds assez con- sidérables 58 ESSAIS SUR LA.
Página 88
... peine s'augmenter de celui de tous , beaucoup d'idées légèrement effleurées , parce qu'il n'est pas du bon air de rien approfondir ; des traits au lieu de raisons , des riens tournés d'une façon piquante tel est en général le caractère ...
... peine s'augmenter de celui de tous , beaucoup d'idées légèrement effleurées , parce qu'il n'est pas du bon air de rien approfondir ; des traits au lieu de raisons , des riens tournés d'une façon piquante tel est en général le caractère ...
Página 104
... peine en essayant d'effacer les impressions peu favorables que le monde en général avoit conçues contre lui . Sans vouloir approfondir les motifs qui ont engagé M. de La Harpe à se faire l'apologiste de Beaumarchais , je ferai quelques ...
... peine en essayant d'effacer les impressions peu favorables que le monde en général avoit conçues contre lui . Sans vouloir approfondir les motifs qui ont engagé M. de La Harpe à se faire l'apologiste de Beaumarchais , je ferai quelques ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Página 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Página 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Página 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Página 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Página 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Página 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Página 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Página 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...