C'est pure medisance : il ne 1'a jamais e"te". Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il etait fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait... Critical and Miscellaneous Essays - Página 212por Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1843Vista completa - Acerca de este libro
| Molière - 1822 - 442 páginas
...marchand ? c'est pure médisance , il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant , fort officieux ; et , comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tons les côtés , les faisait apporter.-ehez lui , et en donnait... | |
| Scènes - 1829 - 394 páginas
...marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à... | |
| French authors - 1839 - 512 páginas
...marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et, comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1843 - 520 páginas
...officieux ; ct comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les c6tés, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses...1'argent." There are several amusing instances of Walpole's feeling on this subject in the letters now before us. Mann had complimented him on the learning... | |
| Adolphe Mathieu - 1844 - 178 páginas
...marcband? C'est pure médisance, il ne l'a jamais, été. Tuut ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et, comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait cboisir de tons les côtés, les faisait apporter cbez lui, et en donnait à... | |
| N. Roy - 1845 - 408 páginas
...marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, 89 il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1846 - 782 páginas
...father sold cloth, without derogating from his character of Kfntilhomme, " Lui, marchand 1 C'est pure hers. In others they possessed great officieuic; et comme il se connaissait, fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les c6tes,... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 páginas
...marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à... | |
| 1852 - 780 páginas
...father sold cloth, without derogating from his character of Kcutilhonime. " Lui, marchand ? C'est pure f officienz ; et comme il se connaissait, fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les cotes,... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1852 - 764 páginas
...marchand ? C'est pure médisance : il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il disait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux; et comme il se connaissait, fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, ¡es faisait apporter chez lui, et en donnait à... | |
| |