Essais sur la Littérature Française, Volumen21815 |
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... siècle dont je retrace le tableau . >> Rousseau en eut tous les caractères dans le genre où il a excellé , l'heureuse imitation des anciens , la fidélité aux bons principes , la pureté de langage et du goût . « Dieu vous bé- » > nira ...
... siècle dont je retrace le tableau . >> Rousseau en eut tous les caractères dans le genre où il a excellé , l'heureuse imitation des anciens , la fidélité aux bons principes , la pureté de langage et du goût . « Dieu vous bé- » > nira ...
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... siècle , sa- tire dirigée principalement contre Voltaire , Mar- montel , La Harpe et Beaumarchais . le Voici le jugement qu'il porte de Voltaire . C'est siècle qui parle : Ige . Un génie ! oh ! vraiment , pour que chacun le crût , Sans ...
... siècle , sa- tire dirigée principalement contre Voltaire , Mar- montel , La Harpe et Beaumarchais . le Voici le jugement qu'il porte de Voltaire . C'est siècle qui parle : Ige . Un génie ! oh ! vraiment , pour que chacun le crût , Sans ...
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... ses ≫ ouvrages ne fut une mauvaise action . » Ensuite se rappelant de Delille , enlevé seulement quel- ques mois avant lui , il dit : « Delille accorda quel » que chose aux caprices de son siècle ; Parny LITTÉRATURE FRANÇAISE . 37.
... ses ≫ ouvrages ne fut une mauvaise action . » Ensuite se rappelant de Delille , enlevé seulement quel- ques mois avant lui , il dit : « Delille accorda quel » que chose aux caprices de son siècle ; Parny LITTÉRATURE FRANÇAISE . 37.
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Quintin Craufurd. » que chose aux caprices de son siècle ; Parny >> leur refusa tout . Que n'a - t - il respecté toutes les >> sortes de convenances comme il a senti celles » de la composition ? Pendant qu'il chantait la » Guerre des ...
Quintin Craufurd. » que chose aux caprices de son siècle ; Parny >> leur refusa tout . Que n'a - t - il respecté toutes les >> sortes de convenances comme il a senti celles » de la composition ? Pendant qu'il chantait la » Guerre des ...
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... siècle , plus de simplicité , desentiment et de grâce , et qu'elle a eu , dans le nôtre , plus d'esprit et de tournure . « Je ne sais , dit - il , si l'on pourrait citer >> une chanson de ce siècle , aussi tendre et aussi >> naïve celle ...
... siècle , plus de simplicité , desentiment et de grâce , et qu'elle a eu , dans le nôtre , plus d'esprit et de tournure . « Je ne sais , dit - il , si l'on pourrait citer >> une chanson de ce siècle , aussi tendre et aussi >> naïve celle ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 159 - Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers , encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce
Página 182 - roi* ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même , Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail, le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné : Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime. Ainsi ; de
Página 173 - dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé.
Página 309 - Voici l'épitaphe qu'il se fit pour lui-même : Celui qu'ici maintenant dort, Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Garde bien que tu ne l'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Página 165 - Germanie, Tous n'attendent qu'un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l'Espagne, et surtout les Gaulois, Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois, Exciter ma vengeance, et jusque dans la Grèce, Par des ambassadeurs accuser ma paresse. Ils savent que sur eux, prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder
Página 164 - mort bientôt ne me vient traverser . 1 Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte, en deux jours, Aux lieux où le Danube y vient finir son cours; Que du Scythe avec moi l'alliance jurée, De l'Europe
Página 141 - trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent. Des qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit, de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui
Página 159 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armee, Cette foule de rois, ces consuls, ce
Página 182 - feront enfin baïr la vérité ; Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage. Promettez sur ce livre et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins : Que sévère aux
Página 74 - vous qui de l'Olympe usurpant le tonnerre,. Des éternelles lois renversez les autels , Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez! vous êtes immortels. Et vous, vous du malheur victimes passagères , Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, \ Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous : vous êtes immortels.