Essais sur la Littérature Française, Volumen21815 |
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... rend à Didon , couvre ce qu'il peut y avoir d'o- » dieux à l'abandonner après les bienfaits qu'il en » a reçus . Achate fait auprès d'Énée le même >> rôle que Paulin auprès de Titus : Paulin oppose * >> à l'amour de son maître les lois ...
... rend à Didon , couvre ce qu'il peut y avoir d'o- » dieux à l'abandonner après les bienfaits qu'il en » a reçus . Achate fait auprès d'Énée le même >> rôle que Paulin auprès de Titus : Paulin oppose * >> à l'amour de son maître les lois ...
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... rend que plus extraordinaires les beautés et le génie qu'on y trouve . L'Italie étant ravagée par les guerres civi- les , ses habitants avaient perdu l'habitude de la vie . et des occupations champêtres ; Mécène , pour les y LITTÉRATURE ...
... rend que plus extraordinaires les beautés et le génie qu'on y trouve . L'Italie étant ravagée par les guerres civi- les , ses habitants avaient perdu l'habitude de la vie . et des occupations champêtres ; Mécène , pour les y LITTÉRATURE ...
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... rend la » vertu plus belle , mais il ne peut en tenir lieu . 4 » Ce que j'admire surtout dans le siècle de » Louis XIV , c'est cette réunion si précieuse » de vertus et de talents . Vous ne pouvez pas >> citer un grand homme dans les ...
... rend la » vertu plus belle , mais il ne peut en tenir lieu . 4 » Ce que j'admire surtout dans le siècle de » Louis XIV , c'est cette réunion si précieuse » de vertus et de talents . Vous ne pouvez pas >> citer un grand homme dans les ...
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... rend les écrits des anciens si pré- >> cieux , parce que , maniant un idiôme plus heu- >> reux que le nôtre , ils sentaient moins le besoin » de l'esprit ; c'est le naturel qui distingue le plus >> les grands écrivains , parce qu'un des ...
... rend les écrits des anciens si pré- >> cieux , parce que , maniant un idiôme plus heu- >> reux que le nôtre , ils sentaient moins le besoin » de l'esprit ; c'est le naturel qui distingue le plus >> les grands écrivains , parce qu'un des ...
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... rend ; on est à peu près quitte . Parlez - vous des propos ? Comme il n'est ni mérite , Ni goût , ni jugement qui ne soit contredit , Que rien n'est vrai sur rien , qu'importe ce qu'on dit ? Tel sera mon héros , et tel sera le vôtre : L ...
... rend ; on est à peu près quitte . Parlez - vous des propos ? Comme il n'est ni mérite , Ni goût , ni jugement qui ne soit contredit , Que rien n'est vrai sur rien , qu'importe ce qu'on dit ? Tel sera mon héros , et tel sera le vôtre : L ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 159 - Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers , encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce
Página 182 - roi* ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même , Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail, le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné : Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime. Ainsi ; de
Página 173 - dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé.
Página 309 - Voici l'épitaphe qu'il se fit pour lui-même : Celui qu'ici maintenant dort, Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Garde bien que tu ne l'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Página 165 - Germanie, Tous n'attendent qu'un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l'Espagne, et surtout les Gaulois, Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois, Exciter ma vengeance, et jusque dans la Grèce, Par des ambassadeurs accuser ma paresse. Ils savent que sur eux, prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder
Página 164 - mort bientôt ne me vient traverser . 1 Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte, en deux jours, Aux lieux où le Danube y vient finir son cours; Que du Scythe avec moi l'alliance jurée, De l'Europe
Página 141 - trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent. Des qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit, de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui
Página 159 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armee, Cette foule de rois, ces consuls, ce
Página 182 - feront enfin baïr la vérité ; Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage. Promettez sur ce livre et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins : Que sévère aux
Página 74 - vous qui de l'Olympe usurpant le tonnerre,. Des éternelles lois renversez les autels , Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez! vous êtes immortels. Et vous, vous du malheur victimes passagères , Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, \ Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous : vous êtes immortels.