Essais sur la Littérature Française, Volumen21815 |
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... joue encore quelquefois le Célibataire , le Malheureux Imaginaire et les Prôneurs . Il a composé un poëme sur la déclamation , qui con- tient de bons principes et des vers heureux ; mais ce qu'il a fait de mieux , et ce qui convenait ...
... joue encore quelquefois le Célibataire , le Malheureux Imaginaire et les Prôneurs . Il a composé un poëme sur la déclamation , qui con- tient de bons principes et des vers heureux ; mais ce qu'il a fait de mieux , et ce qui convenait ...
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... joué pour la première fois en 1737 , est celui de ses ouvrages qui a fait le plus de sensation . La musique , qui est de Rameau , a été également admirée , et a fait long- temps les délices des Parisiens . La musique ayant changé de ...
... joué pour la première fois en 1737 , est celui de ses ouvrages qui a fait le plus de sensation . La musique , qui est de Rameau , a été également admirée , et a fait long- temps les délices des Parisiens . La musique ayant changé de ...
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... joue , Son coloris prête un charme divin . Elle se mêle aux lys d'un joli sein ; De la pudeur elle couvre la joue , Et de l'aurore elle rougit la main . En général M. de Parny conserva toujours la pureté de son style , lors même que la ...
... joue , Son coloris prête un charme divin . Elle se mêle aux lys d'un joli sein ; De la pudeur elle couvre la joue , Et de l'aurore elle rougit la main . En général M. de Parny conserva toujours la pureté de son style , lors même que la ...
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... joué par Molé . Cette pièce est imitée de l'espa- gnol . On attribuait l'original à Lopez de Vega ; mais il a été réclamé , selon Voltaire , don par Juan d'Alarçon . « Corneille , après avoir créé l'art de la tragé- » die , a encore ...
... joué par Molé . Cette pièce est imitée de l'espa- gnol . On attribuait l'original à Lopez de Vega ; mais il a été réclamé , selon Voltaire , don par Juan d'Alarçon . « Corneille , après avoir créé l'art de la tragé- » die , a encore ...
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... joué en 1770 , étincelle de saillies ingénieuses . Sa tragédie de Mustapha et Zéangir fut représentée , pour la ... joue que très rarement . « Elle manque , disent les bons critiques , de cette cha- ( 1 ) Lorsqu'un auteur remporte ...
... joué en 1770 , étincelle de saillies ingénieuses . Sa tragédie de Mustapha et Zéangir fut représentée , pour la ... joue que très rarement . « Elle manque , disent les bons critiques , de cette cha- ( 1 ) Lorsqu'un auteur remporte ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 159 - Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers , encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce
Página 182 - roi* ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même , Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail, le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné : Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime. Ainsi ; de
Página 173 - dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé.
Página 309 - Voici l'épitaphe qu'il se fit pour lui-même : Celui qu'ici maintenant dort, Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Garde bien que tu ne l'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Página 165 - Germanie, Tous n'attendent qu'un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l'Espagne, et surtout les Gaulois, Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois, Exciter ma vengeance, et jusque dans la Grèce, Par des ambassadeurs accuser ma paresse. Ils savent que sur eux, prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder
Página 164 - mort bientôt ne me vient traverser . 1 Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte, en deux jours, Aux lieux où le Danube y vient finir son cours; Que du Scythe avec moi l'alliance jurée, De l'Europe
Página 141 - trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent. Des qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit, de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui
Página 159 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armee, Cette foule de rois, ces consuls, ce
Página 182 - feront enfin baïr la vérité ; Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage. Promettez sur ce livre et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins : Que sévère aux
Página 74 - vous qui de l'Olympe usurpant le tonnerre,. Des éternelles lois renversez les autels , Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez! vous êtes immortels. Et vous, vous du malheur victimes passagères , Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, \ Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous : vous êtes immortels.