Essais sur la Littérature Française, Volumen21815 |
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... charmes flatteurs , Cette tempête menaçante . Un encens bien moins précieux Que n'est celui que votre main présente , A mille fois fléchi la colère des dieux . » Après tout , Monsieur , c'est bien le moins » que je vous doive pour vos ...
... charmes flatteurs , Cette tempête menaçante . Un encens bien moins précieux Que n'est celui que votre main présente , A mille fois fléchi la colère des dieux . » Après tout , Monsieur , c'est bien le moins » que je vous doive pour vos ...
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... des pièces légères , qu'il publia sous le nom de Fantaisies . Nous citerons une de ces pièces : LE CONGÉ .. De quel poids on est soulagé Lorsque l'on perd une maîtresse ! Enfin , amis , le charme cesse , Je suis 44 ESSAIS SUR LA.
... des pièces légères , qu'il publia sous le nom de Fantaisies . Nous citerons une de ces pièces : LE CONGÉ .. De quel poids on est soulagé Lorsque l'on perd une maîtresse ! Enfin , amis , le charme cesse , Je suis 44 ESSAIS SUR LA.
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... charme de son sourire ! Que je dédaigne , que je hais Cette flottaute chevelure Qui sert de voile à ses attraits , Ou bien qui leur sert de parure ; Ce sein , qu'Amour sait embellir , Qui s'enfle , s'élève ou s'abaisse Au moindre soufle ...
... charme de son sourire ! Que je dédaigne , que je hais Cette flottaute chevelure Qui sert de voile à ses attraits , Ou bien qui leur sert de parure ; Ce sein , qu'Amour sait embellir , Qui s'enfle , s'élève ou s'abaisse Au moindre soufle ...
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... charme des humains , O divine amitié , viens pénétrer nos ames ! Les cœurs éclairés de tes flammes , Avec des plaisirs purs , n'ont que des jours sereins . C'est dans tes nœuds charmants que tout est jouissance ; Le temps ajoute encore ...
... charme des humains , O divine amitié , viens pénétrer nos ames ! Les cœurs éclairés de tes flammes , Avec des plaisirs purs , n'ont que des jours sereins . C'est dans tes nœuds charmants que tout est jouissance ; Le temps ajoute encore ...
Página 66
... charme et vous rit : Nous avons votre cœur , sans avoir votre esprit , etc. Je dois vous faire observer , madame , que c'est une satire que vous venez de lire , et que la dame qui en est l'objet avait embrassé , dans la révolu- tion ...
... charme et vous rit : Nous avons votre cœur , sans avoir votre esprit , etc. Je dois vous faire observer , madame , que c'est une satire que vous venez de lire , et que la dame qui en est l'objet avait embrassé , dans la révolu- tion ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 159 - Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers , encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce
Página 182 - roi* ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même , Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail, le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné : Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime. Ainsi ; de
Página 173 - dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé.
Página 309 - Voici l'épitaphe qu'il se fit pour lui-même : Celui qu'ici maintenant dort, Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Garde bien que tu ne l'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Página 165 - Germanie, Tous n'attendent qu'un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l'Espagne, et surtout les Gaulois, Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois, Exciter ma vengeance, et jusque dans la Grèce, Par des ambassadeurs accuser ma paresse. Ils savent que sur eux, prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder
Página 164 - mort bientôt ne me vient traverser . 1 Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte, en deux jours, Aux lieux où le Danube y vient finir son cours; Que du Scythe avec moi l'alliance jurée, De l'Europe
Página 141 - trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent. Des qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit, de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui
Página 159 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armee, Cette foule de rois, ces consuls, ce
Página 182 - feront enfin baïr la vérité ; Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage. Promettez sur ce livre et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins : Que sévère aux
Página 74 - vous qui de l'Olympe usurpant le tonnerre,. Des éternelles lois renversez les autels , Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez! vous êtes immortels. Et vous, vous du malheur victimes passagères , Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, \ Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous : vous êtes immortels.