Essais sur la Littérature Française, Volumen21815 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 40
Página 1
... Voltaire prétend qu'à l'âge de près de soixante il débuta dans la poésie par ces vers - ci , à madame de Caylus : ans , M'abandonnant à la tristesse , Sans espérance , sans désirs , Je regrettais les sensibles plaisirs Dont la douceur ...
... Voltaire prétend qu'à l'âge de près de soixante il débuta dans la poésie par ces vers - ci , à madame de Caylus : ans , M'abandonnant à la tristesse , Sans espérance , sans désirs , Je regrettais les sensibles plaisirs Dont la douceur ...
Página 15
... Voltaire , ils aient produit Cinna , Andromaque >> et Mérope , personne n'aura de peine à le com- >> prendre mais la sensibilité semblait avoir été >> refusée à La Motte , et voilà qu'il compose une >> tragédie qui fait fondre en larmes ...
... Voltaire , ils aient produit Cinna , Andromaque >> et Mérope , personne n'aura de peine à le com- >> prendre mais la sensibilité semblait avoir été >> refusée à La Motte , et voilà qu'il compose une >> tragédie qui fait fondre en larmes ...
Página 23
... Voltaire . Rous- seau l'avait connu au collége de Louis - le - Grand . Voltaire alors parut empressé de cultiver sa connaissance , et n'avait cessé ensuite de con- sulter Rousseau sur tout ce qu'il écrivait . L'ori- gine LITTÉRATURE ...
... Voltaire . Rous- seau l'avait connu au collége de Louis - le - Grand . Voltaire alors parut empressé de cultiver sa connaissance , et n'avait cessé ensuite de con- sulter Rousseau sur tout ce qu'il écrivait . L'ori- gine LITTÉRATURE ...
Página 24
... Voltaire de son Epitre à Julie , intitulée ensuite à Uranie . Il disait que cet ouvrage lui ayant fait horreur , il ne put s'empêcher de lui en dire son opinion ; et que Voltaire , piqué de ses observa- tions , tint ensuite les discours ...
... Voltaire de son Epitre à Julie , intitulée ensuite à Uranie . Il disait que cet ouvrage lui ayant fait horreur , il ne put s'empêcher de lui en dire son opinion ; et que Voltaire , piqué de ses observa- tions , tint ensuite les discours ...
Página 26
... Voltaire à M. de .... , » que son père était cordonnier ? - Non , reprit >> celui - ci , je le croyais fils de Pindare ou d'Ho- >> race . Piron lui a fait cette épitaphe : Ci - gît l'illustre et malheureux Rousseau ; Le Brabant fut sa ...
... Voltaire à M. de .... , » que son père était cordonnier ? - Non , reprit >> celui - ci , je le croyais fils de Pindare ou d'Ho- >> race . Piron lui a fait cette épitaphe : Ci - gît l'illustre et malheureux Rousseau ; Le Brabant fut sa ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
admire agréable amant amis amour auteur Barthélemy beau Beaumarchais beauté Bélisaire belle c'était caractère Champfort chansons charme chevalier Cléon cœur comédie comique comte comte Du Luc contes Corneille cour Crébillon Delille Didon dieux disait donna écrits éloge esprit femme gaîté génie genre goût Gresset Harpe heureux homme j'ai jamais jeune jour l'abbé l'Académie française l'âge l'amour l'art l'auteur l'esprit l'histoire l'ode laisse lettres Lisette Littérature long-temps Louis XIV madame madame de Maintenon madame de Tencin mademoiselle de Lussan malheur Marivaux Marmontel Méchant ment mérite mille mœurs Molière monde morale mort Motte mourut naquit nommé ouvrages parle passa Pélisson père personne Phèdre philosophie pièce Piron plaisir poëme poésie poète Pompignan premier prince prit qu'un Racine raison regards ridicule rien Rivarol romans Rousseau sage satire Scarron scène sentiment seul siècle sorte souvent style succès sujet talent théâtre théâtre Italien tion tragédie trouve Turcaret Virgile Voltaire
Pasajes populares
Página 159 - Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers , encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce
Página 182 - roi* ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même , Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail, le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné : Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime. Ainsi ; de
Página 173 - dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé.
Página 309 - Voici l'épitaphe qu'il se fit pour lui-même : Celui qu'ici maintenant dort, Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Garde bien que tu ne l'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Página 165 - Germanie, Tous n'attendent qu'un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l'Espagne, et surtout les Gaulois, Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois, Exciter ma vengeance, et jusque dans la Grèce, Par des ambassadeurs accuser ma paresse. Ils savent que sur eux, prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder
Página 164 - mort bientôt ne me vient traverser . 1 Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte, en deux jours, Aux lieux où le Danube y vient finir son cours; Que du Scythe avec moi l'alliance jurée, De l'Europe
Página 141 - trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent. Des qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit, de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui
Página 159 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armee, Cette foule de rois, ces consuls, ce
Página 182 - feront enfin baïr la vérité ; Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage. Promettez sur ce livre et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins : Que sévère aux
Página 74 - vous qui de l'Olympe usurpant le tonnerre,. Des éternelles lois renversez les autels , Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez! vous êtes immortels. Et vous, vous du malheur victimes passagères , Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, \ Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous : vous êtes immortels.